Flore-Aël Surun développe une œuvre singulière, dans laquelle elle questionne notre présence au monde.
Elle revendique son engagement de témoin au côté de ceux qui choisissent la non-violence comme moyen de résistance : elle accompagne la jeunesse sur les lieux de ses revendications politiques, marche avec des bouddhistes tibétains, passe des refuges canadiens abritant des déserteurs américains au village de la Nouvelle Paix, en Israël.
Flore-Aël Surun développe une œuvre singulière, dans laquelle elle questionne notre présence au monde.
Elle revendique son engagement de témoin au côté de ceux qui choisissent la non-violence comme moyen de résistance : elle accompagne la jeunesse sur les lieux de ses revendications politiques, marche avec des bouddhistes tibétains, passe des refuges canadiens abritant des déserteurs américains au village de la Nouvelle Paix, en Israël.
D’autre part, elle explore la quintessence du vivant, cette énergie qui advient en nous. Par de nouvelles formes de la photographie, elle donne à voir ses visions, son intimité, de l’intérieur et de l’au-delà…
Flore-Aël Surun est membre du collectif Tendance Floue.
Quelques dates :
2019 : "Chamane Lumière" (éditions de Juillet) - Exposition au Festival Les Femmes s’exposent à Houlgate
2014 : "Totems" - Festival « Les promenades photographiques », Vendôme
2014 : Exposition collective "Toledo Contemporanea" pour la Fondation del Greco.
2011 : "Famille Chagnon" (Democratics Books) pour le Prix BNP Paribas de la philanthropie
2001 : Joop Swart Masterclass de la fondation World Press Photo pour la série «Female to Male»
2001 : Grand Prix du Festival Terre d’images de Biarritz