Refusant les codes barres et les étiquettes, Bertrand Desprez est passé par le jazz, sa note bleue et l’improvisation (Conversation avec Dizzy Gillespie, Actes Sud, 1991), s’est intéressé ensuite aux sentiments adolescents d'abord en France (Pour quelques étoiles Actes Sud, 1998) puis au Japon (Les quatre saisons).
Refusant les codes barres et les étiquettes, Bertrand Desprez est passé par le jazz, sa note bleue et l’improvisation (Conversation avec Dizzy Gillespie, Actes Sud, 1991), s’est intéressé ensuite aux sentiments adolescents d'abord en France (Pour quelques étoiles Actes Sud, 1998) puis au Japon (Les quatre saisons).
Attiré par l’introspection, il s’est tourné vers l’abstraction, les paysages et la place prise par de l"homme en leur sein (Chemin faisant, France Territoire Liquide, Les Champs Lumineux). Par son travail actuel autour du cirque et de la danse, notamment avec le Parc de la Villette (Pop-Up), il poursuit son chemin de retour vers la figure humaine.
Pour Azimut, Bertand Desprez voulait marcher-danser. Il avait emmené ses cartes du ciel et s’est perdu…